Neuvaine à la Divine Miséricorde 

10 avril 2020

Suite et fin

Nous l’avons commencé ensemble lundi 5 avril.
Voici les 5 dernières méditations.

Chaque jour :

  • Lire l’intention de prière demandée par Jésus à sainte Faustine (ci-dessous).
  • Puis, un « Notre Père... ».
  • Dix « Je vous salue Marie... »
  • Un « Gloire au Père... ».
    • Samedi 10 avril : « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes douces et humbles, ainsi que celles des petits enfants et plonge-les dans ma Miséricorde. Ce sont elles qui ressemblent le plus à mon Cœur. Elles m’ont réconforté dans mon amère agonie. Je les voyais veiller sur mes autels comme des Anges terrestres. Sur elles Je verse des torrents de grâces. Ma grâce ne peut être reçue que par les âmes pleines d’humilité. Ce sont ces âmes-là en qui Je mets ma confiance ».
    • Dimanche 11 avril : « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui vénèrent et glorifient particulièrement ma Miséricorde et plonge-les en elles. Ces âmes-là ont le plus partagé les souffrances de ma Passion. Ce sont elles qui ont pénétré le plus profondément en mon âme. Elles sont le vivant reflet de mon Cœur Compatissant. Ces âmes brilleront d’un éclat particulier dans la vie future. Aucune n’ira en enfer. Je défendrai chacune d’elles en particulier à l’heure de la mort ».
    • Lundi 12 avril  : « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui sont au Purgatoire et plonge-les dans l’abîme de ma Miséricorde. Que les flots de mon Sang rafraîchissent leurs brûlures. Toutes ces âmes Me sont très chères, mais elles Me rendent Justice. Il est en ton pouvoir de leur apporter quelque soulagement. Puise dans le trésor de mon Église toutes les indulgences, et offre-les en leur nom. Oh ! Si tu connaissais leur souffrance, tu offrirais sans cesse en leur nom l’aumône de tes prières, et tu paierais leurs dettes à ma Justice ».
    • Mardi 13 avril : « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes indifférentes et froides, et plonge-les dans l’abîme de ma Miséricorde. Ce sont ces âmes-là qui blessent le plus douloureusement mon Cœur. Ce sont elles, qui au Jardin des Oliviers, m’inspirèrent la plus grande aversion. C’est à cause d’elles que j’ai dit : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de Moi » ! Pour elles, l’ultime planche de salut est de recourir à ma Miséricorde ».